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Salut mes afroféminines, ou pas!
Je souhaite de bonnes vacances à tous ceux qui en profitent déjà et du courage à ceux pour qui elles sont à venir. Cette année encore j’ai participé à l’Afroshow d’Oxford et fait de belles rencontres, parmi lesquelles celle de George Eyo, un des exposants de l’exhibition market qui précède les défilés. C’est le fondateur de la marque Amari shea qui propose du beurre de karité et des produits dérivés. Si nous savons que cette huile végétale est réputée pour ses vertus cosmétiques et pharmaceutiques, on sait moins à quel point les conditions de vente du karité sont désavantageuses pour les producteurs locaux. A ce propos, je vous invite à découvrir cette marque qui allie cosmétique et business équitable.
Et vous, quel est votre avis sur la démarche de George? Que pensez-vous du principe qui consiste à « rendre aux communautés locales » en les rémunérant à un prix plus juste?
Si vous souscrivez à sa démarche ou si vous avez trouvé cette vidéo intéressante, likez!!
Commentez et partagez sont les étapes suivantes! Et puis, restez connectés parce que je reviens très prochainement avec des images de l’Afroshow 2019!
Afrofémininement vôtre!
Sandgidemad
juillet 26, 2019 at 4:20
J’aime beaucoup cet article ! Bravo Sandji de mettre en avant l’initiative entrepreneuriale, les produits de qualité et par-dessous tout l’éthique !!! C’est une question importante que penser à faire des affaires en mode « gagnant-gagnant » … BRAVO aussi à cet entrepreneur qui est sensible au fait de partager les bénéfices de son commerce avec les producteurs locaux, et par ricochet aux communautés … C’est inspirant, à encourager !
août 11, 2019 at 12:43
Merci beaucoup Afrodico! C’est vrai que le commerce équitable a beaucoup fait parler de lui mais il est souvent présenté dans un contexte pays nord/ pays du sud. Or, il peut également être pratiqué (et il l’est) entre personnes issues des pays du sud vivant en dehors (ou pas d’ailleurs) de leur continent et des producteurs restés sur place. Et cette démarche là montre une réelle prise de conscience de la diaspora quant à son impact économique et social. Puissions – nous découvrir encore plus de telles histoires. Je suis sûre qu’il y en a beaucoup ou qu’il y en aura de plus en plus…
août 8, 2019 at 1:03
Bravo! Belle initiave! Encore une prueuve que les Africains ne restent pas les bras croisés.
J’ai été sure le site: superbe! Simple et épuré, agréable à parcourir.
les produits sont certes (encore) chers, mais après tout, c’est notre choix de soutenir ou non nos entrepreneurs. pour quelques euros de plus, ne fut-ce que de temps en temps, cela vaut la peine.
Par ailleurs, avec ces produits non chimiques et entièrement naturels, nous replongeons dans le monde de nos ancêtres.
Tout simplement.
août 9, 2019 at 10:03
Merci pour ton commentaire A.B.KOUBEMBA. C’est effectivement notre choix ou non de soutenir les entreprises lancées par d’autres afrodescendants. Agir en créant et/ ou soutenant ceux qui créent, demeure à mon sens, une belle et noble façon de faire avancer les choses. Pour ce qui est des prix, peut-être que la reconnaissance des producteurs et du fruit de leur labeur passe par le fait d’accepter de payer un prix à la hauteur de leur travail? Quant aux produits chimiques, on a encore, je pense, beaucoup de chemin et de pédagogie à faire pour faire changer les mentalités.